Malgré les défis – qu’ils soient financiers, techniques ou humains – je crois profondément que la transition vers le bio est l’une des décisions les plus enrichissantes qu’un vigneron puisse prendre. Produire autrement, respecter nos sols, et offrir des vins qui portent l’empreinte authentique du terroir n’a pas de prix.
Pour celles et ceux qui hésitent encore, la dimension économique ne doit pas être vue comme un frein, mais comme une étape stratégique qui demande préparation et patience. À long terme, les bénéfices – financiers et immatériels – surpassent largement les incertitudes des débuts. Et si, vous aussi, le bio devenait l’avenir de votre vignoble ?